84% des 204 associations sondées par Pro Bono Lab déclarent avoir des besoins en compétence non satisfaits en interne. Ces besoins portent essentiellement sur la communication, les relations presse, la stratégie et les finances.
À l’autre bout de la chaine, les entreprises. 71% des 56 entreprises répondant à l’enquête pensent que leur engagement pro bono va augmenter dans les trois prochaines années. Un quart des entreprises pratiquant le pro bono dispose d’un budget pour le fonctionnement des activités de mécénat de compétence supérieur à 100 000 euros. Et la déduction fiscale n’est utilisée que pour la moitié d’entre elles.
À l’autre bout de la chaine, les entreprises. 71% des 56 entreprises répondant à l’enquête pensent que leur engagement pro bono va augmenter dans les trois prochaines années. Un quart des entreprises pratiquant le pro bono dispose d’un budget pour le fonctionnement des activités de mécénat de compétence supérieur à 100 000 euros. Et la déduction fiscale n’est utilisée que pour la moitié d’entre elles.
Et pour cause. Les missions proposées, généralement courtes (moins de 15 jours) et en accord avec le cœur de métier de l’entreprise ou la gestion, sont perçues comme un enjeu de ressources humaines, pouvant être couplé avec une stratégie RSE. De quoi contribuer à la fois aux valeurs de l’entreprise, et au bien-être des salariés.
